C’est en 1927, qu’Isabelle MALLET, atteinte d’une paralysie, surmontait sa maladie et mettait toute son énergie et une partie de sa fortune pour créer la semaine de la Bonté, association caritative pionnière de l’aide sociale, qui servira de modèle à de nombreuses autres institutions et qui sera reconnue d’utilité publique en 1955.
A l’origine, grâce à ses relations, Isabelle Mallet mis en place ce que l’on a pu nommer des « oeuvres de miséricorde« , visites de prisonniers et de malades, soupes populaires, ensemble de conférences et manifestations. Puis dès la seconde année, elle décidât de sortir de ce cercle un peu restreint et réussi à convaincre la grande presse – L’intransigeant, Paris Soir, Le Figaro – et d’autre, de glisser une fois par an une pleine page de cas particulièrement douloureux qui lui avaient été signalés afin de faire appel à la générosité du public. Elle s’inspirait de ce que faisait aux Etats-Unis, le New York Times, une fois par an au moment de Noël.
Cette action fut relayée par des appels à la radio, des concerts, des conférences et des quêtes publiques. La journaliste Clara Candiani, dont certains se souviennent certainement, a beaucoup oeuvré pour aider l’association dans son émission, « les Français donnent aux Français« . Le comité d’honneur composé de personnalités prestigieuses, telles que Alain Decaux, Louis de Broglie, le professeur Jean Bernard, ainsi que les représentants de toutes les autorités religieuses, ont aussi fait de leur mieux pour aider l’association à recueillir la générosité du public.
En raison de la multiplication des « canaux de la générosité », il ne nous est malheureusement plus possible de compter sur ces précieux relais.
C’est pourquoi nous faisons directement appel à votre générosité afin que nous puissions renforcer nos moyens d’action et continuer l’oeuvre d’Isabelle Mallet.