Notre comité travaille avec rigueur et bienveillance à l’analyse de dossiers constructifs.

En voici quelques exemples de cas réels parmi ceux qui nous ont été soumis ces derniers temps :

M.C. est en 1ère année d’apprentissage en plomberie. Il a bénéficié d’un contrat jeune-majeur de l’Aide Sociale. à l’Enfance jusqu’à son début d’apprentissage.
Ses ressources s’avèrent inférieures à celles estimées. Il se trouve en difficulté, car logeant au Foyer des Jeunes Travailleurs, il doit régler son loyer et l’essence pour ses déplacements. Son budget sera plus facile à gérer pour sa deuxième année, car il percevra une somme plus conséquente. Dans cette attente, afin de l’aider à poursuivre son cursus, nous lui accordons 200€.

Coup de pouce pour un apprentissage
Cas N° 215692

Mme A., mariée, a consacré son temps à ses trois enfants. Souhaitant désormais exercer une activité professionnelle, elle a pu s’inscrire à une formation préparant au CAP de pâtisserie. Si le financement de cette formation, extrêmement élevé, est quasiment assuré à ce jour, Mme A doit encore s’équiper de chaussures de sécurité et de la mallette professionnelle. Pour lui permettre de mener à bien son projet, la Semaine de la Bonté participe pour un montant de 200 euros à ces dépenses indispensables.

Une future pâtissière
Cas N°218325

Dipty est une fille motivée et courageuse, en 3éme année d’ingénieur en informatique. Sa famille ne peut l’aider. Elle s’est démenée pour obtenir des aides publiques et a fait des jobs d’été. Ses résultats très positifs nous amènent à lui allouer une prime de 500 euros, comme l’an passé, pour lui permettre de finaliser son parcours.

Une ingénieure en informatique
Cas N° 219044

Mlle C, 28 ans, étudiante brillante, souhaite devenir avocate. Boursière, elle a passé avec succès Licence de Droit et Master 1 et 2 tout en travaillant pour financer ses études. Cette année, après une hospitalisation de trois mois, elle se trouve en très grande difficulté pour payer son inscription à l’Institut d’Etude Judiciaire, ultime échelon pour être avocat d’affaires. Ayant choisi un cursus universitaire long, elle n’a plus droit aux bourses. Son parcours sans faille montre le sérieux et la pugnacité de cette jeune fille. Nous lui accordons 300 euros pour ses frais d’inscription.

Une future avocate
Cas N° 218345

Mlle B. 25 ans, qui travaille comme surveillante d’internat est une étudiante brillante qui vient de réussir le concours d’entrée à l’Ecole d’Avocats de Toulouse. Issue d’une famille très modeste, elle aurait besoin d’aide pour régler les frais d’inscription, qui malgré une participation du CROUS, sont encore trop onéreux pour elle. Nous lui accordons 300€.

Devenir avocate
Cas N° 214822

Mme M., 45 ans, vit dans une commune rurale et élève seule ses trois enfants. En lien avec le Pôle Emploi, elle recherche des heures de ménage dans son secteur totalement dépourvu de moyens de transports collectifs. Une aide de 115€ lui permettra d’acheter un scooter d’occasion et ainsi se déplacer dans les communes avoisinantes.

Un scooter, achat indispensable
Cas N° 214968

M. M., marié, deux enfants, vit en zone rurale et est en accession à la propriété. Actuellement au chômage, en fin de droits, il a décidé de mettre à jour sa formation de cariste (CACES), pour pouvoir travailler ensuite dans des agences d’intérim qui l’ont déjà employé. C’est urgent, car, suite à de graves problèmes familiaux et de santé, Mme M. travaille actuellement à mi-temps. La somme de 250€ viendra compléter le montant déjà versé par la famille ainsi que les aides déjà obtenues pour que M. M. puisse suivre sa formation.

Devenir cariste
Cas N° 214787

Mlle F., célibataire de 27 ans a toujours manifesté un vif intérêt pour les métiers de bouche. Après son BAC et un DUT, elle a travaillé dans une pâtisserie industrielle, avant d’être licenciée économique. Elle prépare actuellement un CAP en pâtisserie, mais le lieu de formation est situé à plus de 30 kms de son domicile, ce qui occasionne des frais de transport importants qu’elle ne peut assumer seule. 200€ sont demandés et accordés.

Formation aux métiers de bouche
Cas N°214148

M. H., 28 ans, actuellement en CDD après plusieurs emplois précaires, veut stabiliser sa situation et pour cela devenir chauffeur de taxi. Il doit obtenir le diplôme « CCPCT », certificat indispensable pour exercer cette profession. La formation est coûteuse. La somme de 250€ viendra compléter, en même temps que les aides déjà obtenues, la participation de M. H.

Accéder au métier de chauffeur de taxi
Cas N° 214286

M.L., âgé de 17 ans ½, est scolarisé aux « Compagnons du Devoir » où il a intégré un CAP de couvreur. Ses parents ne peuvent pas subvenir à sa scolarité. Pour s’en sortir, il travaille en parallèle, mais cette situation est préjudiciable à ses études et ses résultats. Cet étudiant courageux a besoin d’être soutenu afin de finaliser son cursus. Nous lui accordons 300€.

Un élève chez les compagnons du devoir
Cas N° 214513

M et Mme B. ont une exploitation agricole aviaire. Monsieur est atteint d’une grave maladie très invalidante.
A la suite d’une intempérie, ils ont dû remplacer 150 lampes indispensables à l’élevage aviaire.
La facture importante a déséquilibré le budget de la famille. Un soutien exceptionnel de 300 € devrait permettre de stabiliser leur budget.

Aider un agriculteur en détresse
Cas N° 214822

Mlle C., 21 ans, est une étudiante sérieuse et volontaire en dernière année de DTS Médical. D’une famille modeste, un père en invalidité permanente, et malgré une bourse et des jobs d’été, elle ne peut faire face aux frais de scolarité importants. Son domaine d’études, l’imagerie médicale, étant très porteur, elle est certaine de trouver rapidement un emploi après l’obtention de son diplôme. Nous l’encourageons en lui accordant les 500€ demandés, qui font suite à une aide financière de 300€ accordée en 2014 pour sa première année d’études.

Une fin d’étude avant un emploi sur
Cas N° 216687

M J. a réussi avec succès le concours d’admission à l‘EPITECH, spécialisée en informatique et robotique. Il a réalisé des travaux saisonniers, sa famille très modeste l’accompagne tant qu’elle peut sur le plan matériel. Malheureusement, cela reste insuffisant. Il a besoin d’une aide afin de régler ses frais d’inscription. Nous lui accordons 500€.

Intégrer une école d’ingénieur
Cas N° 215851

M S., âgé de 18 ans, issu d’un milieu très modeste (parents au RSA), veut travailler dans la restauration, secteur porteur d’avenir.
Il a intégré le CFA de La Rochelle et a trouvé un emploi. Seul, son « trousseau » lui fait défaut. La Semaine de la Bonté va l’aider dans son projet, 300€ lui seront attribués.

Du matériel pour un apprenti restaurateur
Cas N° 215870

Après une fin de contrat de travail, M. H. se retrouve au chômage. Etant titulaire d’un CAPA Travaux Paysagers et d’un CAP Mécanique, il a le projet de travailler comme paysagiste à travers le CESU Chèque Emploi Service. Il pourrait accepter des chantiers pour se développer et il a besoin d’acheter des outils indispensables : tondeuse, débroussailleuse… Nous lui accordons 300 €.

Outillage
Cas N° 216104

Mme B. , a le projet de devenir infirmière. Voulant se donner les moyens de réussir, elle veut suivre une préparation à l’examen d’entrée à l’école d’infirmière. Sa famille modeste ne peut l’aider. Elle recherche un emploi en parallèle. Une aide de 250 € lui est accordée pour ses frais de scolarité.

Une élève motivée
Cas N° 212948

M. G., 39 ans, marié, trois enfants, a travaillé notamment comme ouvrier chez Peugeot. Au chômage, il a pour objectif d’obtenir le permis C et la FIMO pour devenir chauffeur routier, ayant déjà une promesse d’embauche. La formation étant coûteuse, un montage financier (associations et organismes publics) a été préparé. La Semaine de la Bonté y participe par un don de 200 €.

Devenir chauffeur routier
Cas N° 212948